SUJET : L'île rouge, Madagascar

Bien blotti, un petit groupe de lémurs se repose





Le parc protège plusieurs variétés d'hapalémurs que nous avons tenté de découvrir !!

Grand fan de jeunes pousses de bambou géant, l'hapalémur doré vit en petite troupe d'une demi douzaine d'individus...

Bien plus petit, nous trouverons son cousin au bord d'un petit ruisseau.

Superbe l'hapalémur doré.

Quelle belles observations et de belles images

Merci Romain pour ce carnet qui est passionnant

Merci beaucoup !!! L'île est une merveille


Nous patientons en fin de journée au point de vue dans l’espoir qu'un fanalouka, attiré par les odeur de nourriture abandonnée dans les poubelles par les visiteurs, sortent de l'ombre... Mais non, les chances étaient très minces mais cette occasion nous permet de croiser un rat

La nuit, en plus des microcèbes, nous dévoile de nombreuses surprises !!

Chez les amphibiens (encore à identifier !)

Chez les caméléons !!

Le lendemain lever aux aurores pour une longue recherche !! Enfin deux

Après six petites heures de marche en pleine zone centrale, sous les arbres géants, nous finissons par croiser quelques oiseaux !!

Mais surtout un primate bien singulier dans sa tenue de panda

Contrairement aux autres lémuriens, il ne porte pas ses petits mais préfère les laisser à l'abri dans un creux d'arbre !!

Autre objectif de la matinée, une rareté, en danger critique avec seulement une quarantaine d'individus encore en liberté...

Les trois variétés d'hapalémur du parc cohabitent aisément grâce à des régimes alimentaires bien spécialisés. Nommé en anglais "bamboo lemur", ces lémuriens sont spécialisés dans la consommation quasi exclusive de bambou. Des repousses de petites variétés pour le gris, des bambous géants pour le doré qui supporte leur très forte teneur en cyanure et des repousses de bambou coriace pour le grand !

Alors on tourne le dos quelques jours et voilà
Je viens de passer un moment délicieux sur les deux dernières pages. Quel air revêche ce Tisserin sakalave !
Je retiens le Coua géant, l'adorable microcèbe (la 117 !!), le fossa bien sûr, même avec son mauvais caractère, et tous les lémuriens, ainsi que le rat 143.
Comme les copains je suis aussi séduite par la Philépitte veloutée, mais aussi par la brachyptérolle avec ses faux airs de brève (logique puisqu'elle est pittoïde)

Et aussi les baobabs, si différents de ceux d'Afrique de l'Est.

Et le niveau photographique de ce carnet est très bon, ce qui ne gâte rien ! Vive l'acquisition du reflex, tu apprends vite on dirait

Géniaux les caméléons. Je viens de tomber sur un reportage sur Mada sur Voyages avec un passage sur le cyanure absorbé par les Hapalémur. Pas banal cette particularité biologique.