Quel départ sur les chapeaux de roue ! A peine le temps de m'absenter 3 jours, et déjà autant de pages à rattraper !
Rigolo le Francolin sur la table qui regarde ce qui se passe dessous
En revanche, c'est bien triste pour le jeune ravisseur, qui ne devrait pas survivre...
Pour les identifications :
- pour les nouvelles espèces de girafes, il y a quelques différences de motifs dans le pelage, mais surtout leurs aires de répartition ne se recoupent pas et c'est donc comme cela qu'on peut savoir l'espèce. C'est donc bien une Giraffa giraffa, si on en croit les dernières classifications, mais j'ai l'impression que les spécialistes ne sont pas d'accord entre eux sur le nombre d'espèces à retenir...
- pour les scinques, c'est difficile à dire car plusieurs espèces sont rayées avec la queue bleue. Comme Romain, je pourrais dire Trachylepis quinquetaeniata (comme celui dans mon journal de bord) mais j'ai vu que la plupart des sites considèrent que cette espèce n'est pas présente en Afrique australe.
- pour les choucadors, je suis toujours un peu dérouté, mais j'aurais dit que celui de la photo 20 est aussi un Choucador à oreillons bleus (malgré la petite tache rouge qu'on voit sur ses ailes) car ses oreillons sont vraiment très nets et sa couleur globale est plus verte que bleue
Vincent écrit: Ben dites donc quelle présentation et entrée en matière pour cette présentation à 3 claviers et au moins 6 boîtiers (3 paires de mains et d'yeux surtout )
Vincent, tu n'as pas suivi ! S'il y a bien 3 paires de main pour le carnet, il y a 4 paires d'yeux, car je ne suis pas seul, et Florence n'est pas la dernière à repérer les bébêtes, y compris les oiseaux dont elle n'est pourtant pas la première fan.
Bernard écrit: Ce n'est pas si facile de repérer en roulant nos petits emplumés, surtout quand on n'a pas l'œil exercé d'un guide ou d'un habitué. Je conduis, certes sur route goudronnée ou sur de très bonnes pistes, mais cela demande quand même une certaine attention au détriment de la recherche des piafous,
C'est vrai, mais on s'y fait. Quand on conduit soi-même, il faut beaucoup compter sur le hasard, surtout quand les oiseaux traversent la route devant soi pour se poser dans un arbre près de la route. Quand ça arrive, je reste les yeux à l'endroit où je l'ai vu se poser, en freinant doucement, pour le repérer et prendre la photo. Si on le dépasse et qu'on doit faire marche arrière, il y a 80% de chance qu'il s'envole. Et on se rend compte aussi avec le temps, quand on conduit assez lentement, qu'on n'a pas besoin de regarder la route la majeure partie du temps ; quand son regard suit le bord de la route, on s'aperçoit vite qu'on dévie de trajectoire avant de partir dans le décor. Et finalement, ça laisse pas mal de temps pour avoir les yeux sur ce qu'on cherche...
Catherine écrit: Et toujours juste un seul nouveau dans notre escarcelle, le Francolin du Natal. Ça fait peu quand même en deux jours
Peut-être mais vous avez déjà tellement vu !!